Description
Dans son livre Marquayrol, les jardins d’Henri Martin, l’écrivain Jean-Pierre Alaux évoque la passion du peintre pour sa thébaïde quercynoise qu’il achète en 1900 avant d’y résider à plein temps en 1923 jusqu’à son dernier souffle. Une grande partie de sa vie se confond avec ce lieu qu’il transforme en havre de paix et devient au gré de sa palette la source inépuisable d’inspiration pour des centaines de tableaux. D’une plume sensible et avec son regard inspiré, l’auteur ne fait pas mentir la chanson de Michel Berger : « Si le bonheur existe, c’est une épreuve d’artiste »
